Dieu fait partie de soi
Mots décryptés selon la loi de la Kabbale
Zanahary, Andriamanitra, Adonaï, Adama, Jehovah, Yahweh ou Iaveh, Ève, Hova, Rahova.
La signification du mot Zanahary est Za(nahary) ou Moi(Za) Créateur(Nahary).
Le saviez-vous que le Mot Andriamanitra est une combinaison de deux mots sanskrit , Adi et Mantra.Adi, ou Adonaï, ou Adam, Ancêtre de l’homme
Jehovah n’est autre que le nom d’Ève déformé.
Et le mot hebreux et le mot Malgache Olo sont des mêmes mots, El ou OLo veut dire olona ou homme (humain).
C’est aussi un nom divin dans la Bible, El Adonaï.
C’est la 7e couche de l’âme.
Il est ce que les Malgaches appellent : « Dieu au sommet de la tête », « Ne regardez pas la vallée silencieuse, mais Dieu au sommet du crâne », Lié au 7e Chakras appelé Sahasrara qui se situe au-dessus de la tête.
C’est la 7e couche du corps énergétique.
C’est le corps le plus élevé, il définit la suprématie de l’homme, c’est lui qui nous lie à Dieu.
C’est la lumière qui nous unit à Dieu et fait de nous des enfants de Dieu.
On trouve dans Jean 14 : 11, par exemple la citation « Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi »
Tout le monde peut le dire, et cela ne peut pas être faux.
Mais Zanahary signifie vraiment Moi le Créateur
Et le proverbe « Ny fanahy no olona » ou c’est l’aura qui est l’homme es justifié ici.
Car ici, la couche suprême de l’aura, le dieu au sommet de la tête qui dit : « Izaho Nahary ou c’est moi qui ai créé.
Sa présence et son travail sont bien ressentis ici.
Il y a une citation similaire à ça dans le Nouveau Testament (il nous faut une autre page pour en parler.).
Ce 7e corps ou septième est l’étincelle divine en nous et la Bible le confirme « Dieu est en nous »
C’est ce septième chakra qui nous fait ressentir notre unité avec le monde infini ; l’unité de tous et l’unicité des lois régissant l’existence et de l’unité avec le monde, entre l’homme et Dieu.
Souvenez-vous désormais que nous sommes en harmonie avec le monde de Dieu Par cette loi.
C’est pourquoi nous sommes les rois de la nature.
Chaque être humain n’est autre qu’une partie de Dieu.
Il est étonnant que nos ancêtres aient su cela quand ils ont dit les ancêtres deviennent des dieux.
Lorsque notre mission est remplie et que nous sommes suffisamment propres et avons la plaine expérience de la vie et de son monde, la lumière empruntée aux corps tout au long de la vie humaine retourne à la lumière infinie dont elle émanait.
Nous réalisons maintenant que le septième couche de l’aura lié au septième chakra est vraiment Zanahary ou Dieu Créateur.
Et le mot Andriamanitra ?
Et le mot dieu ?
Saviez-vous aussi que le mot Andriamanitra est une combinaison de deux mots sanskrits ? Adi et Mantra
Un mantra est un mot sacré.
C’est-à-dire des mots énergétiques,
Le Créateur de l’univers disait : « que la lumière soit », et il y avait de la lumière, vous pouvez le voir dans le livre de la Genèse.
Il y avait un mot utilisé dedans, prononcé, qui est destiné à faire paraître la lumière, qui est ce qu’on appelle un mantra.
La deuxième partie de ce mot Andriamanitra est Mantra est le premier mot est déjà expliqué ci-dessus.
Dieu primordial, ou Énergie Primordiale est la traduction étrangère du mot Adi.
Il est le premier dieu et le dieu originel, il est le plus dieu suprême.
Adi (voir ci-dessous) est un mot sanskrit très similaire à Adonaï en hébreu. Au fur et à mesure que le temps passe, qu’il est prononcé et utilisé, le mot devient Andria-.
Vous pourriez être surpris, car ce n’est pas ce qu’on nous a appris.
DES FAUSSES IDÉES À PROPOS DE DIEU
On nous dit que le mot Andriamanitra est composé par deux mots Andria + manitra ou prince + parfumé, il est tout de suite faux, car le mot dieu existait avant le mot Andria-, le règne des patriarches a existé avant le règne des rois dans la société Malgache, cependant le mot Andriamanitra était toujours là.
Et avant cela, le mot Andriamanitra avait existé.
L’un des mythes sur l’origine du prince, par exemple, est le mythe du fils d’un dieu habité parmi les humains, et son tabou est bravé par ces derniers et il est alors devenu le premier prince.
Regardez ici, cependant, avant que le prince n’existait pas encore, le mot Andriamanitra est déjà utilisé.
Cette traduction, qui nous a été enseignée, a été créée plus tard en raison de la soi-disant religion politique, c’est-à-dire la spiritualité jouée conformément aux objectifs d’un groupe de personnes.
Et ceux qui savent la vérité sont parfois éclipsés.
Une preuve de plus la voici, que personne ne pouvait renifler Dieu, pour pouvoir dire qu’il est parfumé.
Si Dieu (Andriamanitra) est parfumé, les chiens seront les plus proches de lui que les humains, parce qu’ils Le sauraient mieux par l’odorat.
L’odeur est constituée d’éléments chimiques, c’est-à-dire quelque chose de vue et sentis, elle est constituée du « corps physique », mais c’est un dieu est un esprit, une lumière très pure, loin du physique, immatériel et immésurable.
Arrêtez maintenant l’habitude de qualifier nos ancêtres de barbares, et ne pensez plus que les Malgaches sont stupides, car il est prouvé maintenant que notre langue faite partie des clés de transcription des grands-secrets de la Bible.
Adi, ou Adonaï, ou Adam, l’ancêtre de l’homme
Seriez-vous encore surpris si je disais que Dieu seul est l’ancêtre de l’homme ?
Voir ci-dessus à propos du mot Adi, un mot sanskrit qui n’est autre qu’Adonaï en hébreu, c’est aussi un nom pour Dieu dans la Bible.
Adonaï, qui donne aussi le nom d’Adam, serait l’ancêtre de l’homme, Adam, ou Adan, selon la prononciation étrangère.
Vous pouvez supprimer le -n, car -n est facultatif, à la fin, ada est tout ce que vous voyez, remplacez la dernière lettre -a par -i, il devient adi, mais le sens ne change pas.
Il est encore possible de le traduire dans un autre mot malgache, mais le sens ne changera pas.
Ajouter -ka au début, et vous voyez adika (copié). Ce n’est autre qu’Adonaï, Adi, Adam ou Adam, le même ancêtre de l’homme.
Il y a cette dans la Bible : « créons des hommes à notre image (copie) ».
Il y a des attributs de Dieu qui sont copiés pour que les hommes soient ainsi, tels que l’existence des informations génétiques dans l’ADN ou des gènes de vos parents et de vos ancêtres dans les vôtres.
Il y a beaucoup d’éléments divins en nous, copiés de Dieu, et ce sont l’âme et les pouvoirs psychiques (le Hasina).
Ce sont ceux que nous avons en commun avec Dieu, et nous rendent plus proches de Dieu.
Les rois malgaches d’antan voulaient être de même rang que Dieu, ou du moins être appelé enfant de Dieu.
Et leurs noms sont conçus ainsi.
Le frère de Rangita, par exemple, s’appelait Zanahary(Moi créateur ou créateur) et son village était Ambohijanahary (village de Zanahary).
Un ongle d’Andrianampoinimerina etait nommé Andrianjafinandriamanitra (Adi-petits-fils de Dieu).
Le mot Adi est ce que nous expliquons ici, mais c’est ce que les personnes mentionnées ci-dessus ont adopté plus tard pour les appeler, eux et ses descendants, car c’est le nom de Dieu.
Ce n’est pas étrange à Andrianampoinimerina, donc son fils adoptif Radama I est nommé Ilaidama.
C’était El Adonaï, voir le nom d’Adam ci-dessus, qui s’appelait aussi Adonaï.
Radama est également la traduction du nom d’Adam dans la première Bible malgache, qui était écrite en caractères arabes.
Le ilai- (Ilay ou lay) première partie du nom de Radama n’est autre que le mot hébreu El.
Est la seconde -Dama es le même que le nom d’Adam.
Cet Adonaï est en fait le nom d’Adam.
Vous reconnaissez maintenant que le nom Zanahary veut dire Moi Créateur, signification du mot sanskrit Atma, le 7e couche de l’aura ou de l’âme.
Mais je vais continuer quand même mon explication.
Que Jéhovah est le nom d’Ève
Jéhovah, dit les non-catholiques, mais il n’y a pas de lettre j- en hébreu, Et Yaveh quand elle est remplacée par i- ou Y-.
Saviez-vous que la plupart des noms hébreux de la Bible commencent par une lettre minuscule ? Ou commençant par un J, mais ce sont toujours les mêmes, parce que j- est la métamorphose du préfixe de nom hébreu yahou, comme le nom Ra-, précurseur de nombreux noms malgaches, il peut également être omis.
Si Yahou, qui est ici jehu ou Iah, est omis, vah ou veh est le dernier à apparaître.
Comme mentionné ci-dessus, les voyelles peuvent être modifiées, mais le sens ne change pas.
Remplaçons par e, nous verrons Ève, remplacez par o-, nous verrons ova ou hova, prononcé -ouv ou -Houv.
Voyez-vous dans les maths la signification du terme image, elle ne diffère pas de la traduction que nous avons vu là-haut ?
De plus, il n’y a qu’une seule consonne ici, v, ou w, qui est la seule lettre qui compose le nom d’Ève dont est dérivé du nom Jéhovah.
Dans l’alphabet hébreu, cependant, v, w et f sont également les mêmes, lorsque f est ajouté à la voyelle -o, donnant le cœur, fo ou foha (réveille.), qui est le même lorsqu’il est prononcé.
Il est utilisé par les devins pour éveiller le pouvoir, ou pour éveiller le sikidy (devination), il dit d’abord foha (réveillez-vous.), réveillez-vous, réveillez-vous… Pour éveiller le pouvoir, ajoute d’autres mots magiques avant d’utiliser sa capacité.
Ce n’est qu’une lettre F, v, w, mais sa prononciation et son utilisation l’ont modifiée au fil du temps.
Alors, qui est appelé par les devins lorsqu’ils font leur travail ? Jéhovah ou Yahweh ? Ou Ève ?
Il est à noter qu’il n’y a aucune preuve qu’Ève était une femme ou qu’Ève et Adam étaient chacun un individu précis.
Ce qui a maintenant été prouvé, c’est qu’Adam et Ève sont des noms de génies.
C’est-à-dire que le nom d’Ève est Jéhovah ou Yahweh qui est utilisé dans le culte tandis qu’Adonaï c’est le nom d’Adam.
À première vue, il semble que l’on voie toujours ici des noms humains ou des ancêtres humains, qui sont utilisés comme noms de Dieu, pourquoi ?
La réponse est simple, puisque le vrai nom de Dieu est interdit d’être prononcé.
Seules 3 personnes dans l’histoire de l’humanité ont pu prononcer et utiliser ce nom, à savoir le Messie, qui n’est autre que Thot « Dieu RA » ou « Dieu du soleil » qui est Moïse, le second est David, le roi d’Israël, ou Moïse réincarné, le troisième, l’auteur, le messie qui n’était autre que David réincarné.
« Connais-toi, toi-même, et tu connaîtras les dieux et l’Univers. » Socrate
Cet ouvrage, dérivé des hiéroglyphes ou de la kabbale hébreux, n’est autre qu’un complément à la traduction des hiéroglyphes égyptiens par Jean-François Champollion.
Extrait de mon article : « L’aura ou l’âme »